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CES BIENFAITEURS DE L'HUMANITE

pour avancer vers la connaissance

                                          Nous avons presque tous des personnages, des bienfaiteurs de l'Humanité, dont nous nous plaisons à admirer la personnalité et l'oeuvre.  Je pourrais en citer quelques dizaines mais je vais parler des quelques-uns parmi mes préférés, pour qui j'ai la plus grande admiration. Je vais montrer les visages de quelques uns connus, soit par leurs amples connaissances, soit par leurs lumières avec lesquelles,

 

 

ils ont fait basculer l'histoire de la science

 

et l'histoire du monde

Carl Gustav Jung

AVERTISSEMENT - Comme vous le savsez déjà, aucune image ni musique ne m’appartiennent et je n'en fait aucun commerce. Elles sont la propriété de leurs auteurs. Elles ont ete toutes publies par internet donc pour leur partager. Elles sont dans ce site à titre informatif sur les lieux qui me sont proches et que j'aime.  Ces lieux ont forgé ma vie et mes connaissances.  

 

Je remercie ces auteurs du si beau regard qu'ils ont posé sur le monde et de la façon dont ils ont su capter et dévoiler l'âme de chaque lieu, pour nous permettre de les aimer.

C.G. Jung, La Psychiatre

                                                  Carl Gustav Jung est un médecin psychiatre né le 26 juillet 1875 à Kesswil, canton de Thurgovie en Suisse, et mort le 6 juin 1961 à Küsnacht, canton de Zurich, en Suisse alémanique. L'oeuvre de C.G. Jung, n'est pas forcément la plus connue dans le monde de la psychiatrie. Pourtant, la profondeur de sa pensée nous a éclairé sur de nombreux mécanismes de l’âme humaine, de ses différentes expressions culturelles ainsi que des mécanismes pathologiques des maladies. Il a énoncé l'existence de l'insconcient collectif et des archétypes. On lui doit la création de la société psychanalitique qu'il a présidée pendant l'époque trouble du régime Nazi.  Ami du physicien W. Pauli, ils se sont attaqués ensemble à la compréhension de la nature ultime des nombres, qu'il décrira comme une concentration de champs énergétiques et comme les archétypes 

d'ordre, organisant en même temps la matière et l'esprit. Son élève, Marie Louise Von Franck, continuera son oeuvre à ce sujet et écrira un livre remarquable appelé "Nombre et Temps" que je ne peux que vous conseiller de lire.

 

                                     Jung venait d'une famille bourgeoise,son père était pasteur et dans la famille il y avait des voyants et des spirites. C'était une personnalité plutôt tourmentée, préoccupée par les problèmes mystiques et lui même avait des capacités médiumniques. Si je ne peux que vous conseiller de lire l'oeuvre féconde et inconnue de ce génie, je vous invite à lire aussi son livre le plus inconnu "Les sept sermons aux morts" écrit en 1916. .... 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Carl_Gustav_Jung

 

(http://colimasson.blogspot.fr/2015/08/les-sept-sermons-aux-morts-1916-de-c-g.html)

CARL GUSTAV JUNG

Nul ne peut avoir de lien avec son prochain
s'il ne l'a d'abord avec lui-même.

On ne peut voir la lumière sans l'ombre,
on ne peut percevoir le silence sans le bruit,
on ne peut atteindre la sagesse sans la folie.

Les femmes ont une intuition souvent excellente, une critique pertinente, et peuvent percer à jour le jeu des hommes, parfois aussi les intrigues de leur anima. Elles découvrent les aspects que l’homme ne voit pas. C’est pourquoi jamais encore une femme n’a été convaincue que son mari était un surhomme !

De fait, notre vie, jour après jour, dépasse de beaucoup les limites de notre conscience et, sans que nous le sachions, la vie de l'inconscient accompagne notre existence. Plus la raison critique prédomine, plus la vie s'appauvrit ; mais plus nous sommes aptes à rendre conscient ce qui est inconscient et ce qui est mythe, plus est grande la quantité de vie que nous intégrons. La surestimation de la raison a ceci de commun avec un pouvoir d'état absolu : sous sa domination, l'individu dépérit.

Il me semble que c’est un malentendu fatal de considérer la psyché humaine comme une simple affaire personnelle et de l’interpréter exclusivement d’un point de vue individuel.

Le souvenir des faits extérieurs de ma vie s’est, pour la plus grande part, estompé dans mon esprit ou a disparu. Mais les rencontres avec l’autre réalité, la collision avec l’inconscient, se sont imprégnées de façon indélébile dans ma mémoire. Il y avait toujours là abondance et richesse. Tout le reste passe à l’arrière-plan.

A mesure que la connaissance scientifique progressait, le monde s'est déshumanisé. L'homme se sent isolé dans le cosmos, car il n'est plus engagé dans la nature et a perdu sa participation affective inconsciente, avec ses phénomènes. Et les phénomènes naturels ont lentement perdu leurs implications symboliques. Le tonnerre n’est plus la voix irritée d’un dieu, ni l’éclair de son projectile vengeur. La rivière n’abrite plus d’esprits, l’arbre n’est plus le principe de vie d’un homme, et les cavernes ne sont plus habitées par des démons. Les pierres, les plantes, les animaux ne parlent plus à l’homme et l’homme ne s’adresse plus à eux en croyant qu’ils peuvent l’entendre. Son contact avec la nature a été rompu, et avec lui a disparu l’énergie affective profonde qu’engendraient ses relations symboliques.
Les symboles de nos rêves tentent de compenser cette perte énorme. Ils nous révèlent notre nature originelle, ses instincts et sa manière particulière de penser. Malheureusement, ils expriment leur contenu dans le langage de la nature, qui est étrange et incompréhensible pour nous. 

Ce qui ne vient pas à la conscience revient sous forme de destin.

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